Un automate écrivain-dessinateur de Maillardet, joyau du Franklin Institute de Philadelphie par Hélène Fima-Leonardi page 6.
Exceptionnelle, cette mécanique l’est, tant par sa taille que par son histoire. Elle fut réalisée par (pour) Henry Maillardet à Londres et est conservée aujourd’hui au Franklin Institute de Philadelphie. Il ne s’agit pas ici d’analyser cet automate, mais plutôt d’apporter un éclairage nouveau, et en particulier de rétablir le fil de son histoire, de Londres à Philadelphie. Le texte de cet article reprend partiellement le contenu de mon livre «Le magicien des Maillardet», publié l’année dernière aux éditions Watchprint
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La «Surrer », une grande sonnerie méconnue par Gilles Ribierre page 28.
L’origine de cet ingénieux mécanisme de sonnerie est pour le moins obscure, tout au plus, quelques éléments permettent de penser qu’il serait apparu dans le sud de l’Autriche (Tyrol ?) ou le nord de l’Italie dans le second quart du XVIIIe siècle. Quelques rares horloges en fer de facture italienne munies de cette sonnerie semblent en attester la présence dans cette zone géographique à cette époque, mais sans réelle certitude.
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XVIIIe siècle : les échappements cherchaient leur voie... par Joseph Flores page 21.
Sur communication de Claude Larcher Si le XVIIIe siècle fut nommé «Le siècle des Lumières», ce n’est sans doute pas pour le progrès effectué en horlogerie et pourtant, c’est aussi durant ce siècle que les avancées furent les plus marquantes, et principalement dans le domaine des échappements que l’on dit « être le cœur de la montre ».
Claude Larcher nous présente des images qui viennent compléter cet article concernant cette "montre PFENNINGER" .
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Quel est ce mouvement ? par Jean-Pol Poupé Président de l’association À la recherche du temps perdu page 89.
Un soir, lors d’une des réunions de notre association mon ami André me présente un objet récupéré dans un lot de diverses pièces d’horlogerie (Fig. 1). Ne pouvant lui répondre immédiatement je propose qu’il me confie la « chose » pour effectuer une recherche approfondie.
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Astuces et créativités de nos maîtres horlogers ! par Claude Larcher page 80
Depuis des années j’avais dans un tiroir une montre dite torpilleur ayant appartenue à la Marine Nationale signée E. ( Emmanuel) BOUDEAUD (1866/1924) successeur des chronométriers WINNERL et CALLIER rue Pergolèse à Paris. C’est un calibre 22 lignes et elle est accompagnée par son coffret en acajou 3 parties.
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Un compteur à secondes primitif attribué à Henri Robert par Augustin Gomand page 61
En horlogerie, les pièces les plus simples sont parfois celles qui soulèvent le plus d’interrogations. La montre présentée ici (Fig. et 1 et 1a) en est un bon exemple : d’origine inconnue, sans signature apparente, le mouvement – très sobre quoique d’assez belle finition – ne comporte en tout et pour tout que trois roues, pour mouvoir une unique aiguille et indiquer des secondes sur un cadran d’une minute. Quelle pouvait-être l’utilité de cet objet ? Qui l’a réalisé ?
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L’École d’Horlogerie de Florence. par Manrico Nocchi membre AFAHA page 99.
Selon un lieu commun, l’Italie est le pays du soleil; il ne vient pas et n’a pas été paralysé par la neige comme cela s’est produit en Europe centrale pendant des mois entiers.
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Étabt mixte de Breguet par Alain Chapeau page 105
Notre ami et MOF, Alain Chapeau a souhaité partager une de ses restaurations, toujours aussi exceptionnelle : la manivelle d’un échappement à cylindre en rubis. Cela indique déjà la réalisation d’un exploit, mais avant de le laisser s’exprimer, faisons un petit peu d’histoire.
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Une recherche parmi d’autres ! par Joseph Flores page 126
Parcourant le tome 1 de 1’ouvrage de Ferdinand Berthoud «Essai sur l’horlogerie », (Fig. 1), j’arrive sur la page 168 aux numéros 512 et 513 (Fig. 2) intitulée : De l’usage de la machine représentée Pl. XVIII, fig. 13 et 14 (Fig. 3 ) et de me souvenir que j’avais déjà vu ça quelque part, que j’en avais quelques photos, et comme la chose est relativement rare, c’est l’occasion pour vous les présenter
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La compensation thermique et l’erreur secondaire du balancier-spiral par Francis Cresens page 112
Pour une horloge de précision, il est indispensable qu’elle donne l’heure la plus précise possible dans toutes les circonstances. Pour cela son organe réglant doit avoir, entre autres, une précision indépendante de la température.
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La force constante de Breguet reconstruite. par Alain Chapeau page 118
Notre ami et MOF, Alain Chapeau, qui n’en est pas à son coup d’essai, a décidé d’en réaliser une copie en modèle de démonstration. Voici ce qu’il nous a communiqué, qu’il en soit remercié.
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Chronographes de bord d’aéronefs soviétiques par Bernard-Paul Eminet
Relation entre un chronographe de bord suisse et un avion de chasse soviétique MIG 29 des années 70 ? En 1930, la firme suisse Jaeger-LeCoultre conçoit pour les avions la Chronoflight (ou Chronoflite), un chronographe proposant l’heure et des compteurs de temps écoulé.
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La restauration d’une montre extraplate Robert & Brandt par Francis Rossignol page 36
La mise au point d’une montre extra-plate est un exercice de style délicat à réaliser. Ce qui explique qu’un calibre extra-plat soit considéré comme une véritable complication horlogère, au même titre qu’un calibre squelette, un quantième perpétuel, un indicateur de réserve de marche, un dispositif à tourbillon, une répétition à minutes.
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Échappements : Effets structurels par Joseph Flores page 130
Aucun des centaines d’échappements imaginés par le génie des horlogers depuis cinq siècles, n’est à l’abri de perturbations, dues principalement aux chocs que subissent les montres, déjà dans le gousset, mais encore plus lors du portée au poignet, et en ne parlant que des échappements libres, ceux à reculs et à repos frottant ne pouvant rivaliser.
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